Gossow

Conneries.

Lundi 16 août 2010 à 5:11

(J'essaie, je ne garantis pas. Il est 4h21.)


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En chantier, je m'appelle Trude ! ... Bref. Bonjour bonsoir, pour ceux qui me suivent encore (enfin, s'il y a quelque chose à suivre).
Ca fait longtemps que je ne vous ai pas gâtés hein ? Si vous saviez ce que je m'en contrefous TOTALEMENT. De vous écrire, de vous, tout simplement, de VOUS TOUS. Vous n'êtes rien pour moi, vous ne servez qu'à me faire rire de mon rire le plus horrible, celui que j'utilise quand je me rends compte qu'il y a sur terre des gens assez stupides pour commenter des passades de vie minable d'une parfaite inconnue, via internet.


Et maintenant après avoir dit ça, je ne me souviens même plus de ce que je voulais foutre ici. Tout ça est bien drôle n'est-ce pas ? Je me fous de vous et vous arrivez, sans même lever le petit doigt sur votre clavier, à me faire quelque chose.

Mais parlons de choses un peu plus sérieuses pour moi que vos petites personnes, voulez-vous ? On est quand même sur mon blog, mon espace, ma page, ma vie. Et à la base, je voulais parler de ma copine (oui, ça y est, j'ai retrouvé mes mots. Comme quoi, vous ne m'avez pas beaucoup perturbée). Les célibataires qui lisent mon blog doivent me trouver carrément obsédée par elle, non ? Eh bah, vous avez raison. Mais il se trouve que ce n'est pas seulement ma copine, en fait. C'est surtout ma fiancée comme vous le savez peut-être déjà si vous avez lu la totalité de mon blog. Et c'est aussi une merveilleuse amie. Depuis que je la connais elle m'a aidée, de quelque manière que ce soit, et en s'en rendant compte, ou pas. Tout d'abord c'est grâce à elle que j'ai apprit à aimer lire. Car c'est tout simplement la première personne au monde que j'ai aimé lire de cette sorte. Mais elle m'a aussi permit de me sentir mieux, de m'organiser dans ma vie, de dire les choses dès qu'elles arrivaient au lieu de tout stocker dans mon esprit jusqu'à ce que SD card full, et que tout explose à la moindre information en trop. Je gerbais mes mots en vrac quelque part (à Nice, en l'occurrence), où quelqu'un les lisait et me répondait, pas forcément en me conseillant ou quoi, elle aurait pu me répondre "Bien fait pour toi sale pute" que ça m'aurait quand même fait plaisir, car je savais qu'au moins, quelqu'un me lisait, surtout quelqu'un, qui, au fil des messages et autres, devenait petit à petit plus importante pour moi. Combien y a-t-il de gens qui ont eu la même chance que moi ? Certainement pas beaucoup. Mais les autres, je m'en fous (voir plus haut). Mais le mieux, c'est que c'est pas tout. C'est elle qui, il y presque un an, s'est -inconsciemment- imposée dans ma tête, dans mon esprit, dans mon coeur, en détruisant tout sur son passage. En envoyant aux oubliettes mes amourettes mensuelles et même deux de mes grands amours. Je me voyais déjà quitter ma famille, mes amis, et tout ce qui m'était cher, en m'envolant pour un autre monde, et foulant enfin le pied sur les terres de mes ancêtres, avec une autre femme à mes côtés. Jusqu'à ce qu'elle arrive, cette bombe sexuelle dont je suis tombée follement amoureuse -petit à petit, pour une fois ! Moi qui d'habitude suis adepte au coup de foudre-. Il a suffit d'une seconde pour que tout change dans mon esprit. Je venais de bouffer des danettes -ceux à deux gouts, les trop bons là- et je parlais avec une amie sur un banc en bas de chez elle, et d'un seul coup, tout ce qui me paraissait limpide auparavant était devenu brouillard, et tout ce que je n'arrivais pas à déchiffrer s'est transformé en l'espace d'une seconde en de frappantes réalités. Je l'aimais. J'étais folle amoureuse d'elle. Elle était devenue ma vie entière à la vitesse de la lumière. Mais peut-on avoir une relation durable et stable avec une personne avec laquelle nous sommes amis ? Non. Certainement pas. Il me fallait l'oublier, le plus vite possible, à tout prix. Je m'y suis attelée pendant une semaine. Sans succès. Et tant mieux. Car pendant la soirée de la peur et du terrifiant, j'ai trouvé amour et bonheur auprès de sa voix et ses mots.
-Je m'éloigne du sujet principal ? Ouais. Mais cette fois je m'en fous.-
On a réduit au fil des mois la distance qui nous séparait jusqu'à ce qu'elle devienne ridicule face à notre amour. On a toutes les deux anéanti notre année scolaire, elle à la fac, moi en première. On s'en foutait. Ce qui comptait, c'était se voir, se parler, se frôler, s'embrasser, se dire qu'on s'aimait, se faire tendrement l'amour et se baiser comme des bêtes certains soirs. Ca nous a valu de nous attirer les foudres de ses parents, un peu moins des miens, mais quand même. Mais mon père, percevant peut-être mon air de défi un jour à table, m'a vu répondre "Oui." à la question "Vous voyez jusque là" ? -ma copine et moi rigolions de nous plus tard, avec des cannes-. Et le lendemain, il l'invitait à venir vivre chez nous. Allez, avouez-le, vous rêvez d'avoir mon père ? Vous ne l'aurez JAMAIS ! C'est le MIEN ! Je l'aime et je veux le garder aussi longtemps que la vie me le permettra. Et puis les foudres des parents, nos mois-anniversaires gâchés, et puis Miami, et puis cet été, et puis ces deux mois passés avec toi, avec tes parents enfin -ou à contrecoeur, j'm'en tape- d'accord avec ce projet. Notre petite chatonne à nous deux.

Le fin mot de l'histoire ? Vous  aurez comprit que je l'aime.



Tout ça pour vous dire que dimanche à 11h30, ce sera officiel, on vivra ensemble et pour toujours.




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Jeudi 19 août 2010 à 5:03

Article 35, déjà. Je crois que c'est la première fois que j'écris autant sur un blog en laissant les articles en ligne Oo
C'est dingue...

Bref, bonjour ou bonsoir comme d'habitude, on est au courant BLA BLA BLA.

Je parle pour rien dire ce soir, j'ai envie d'écrire c'est tout, sauf que j'ai rien à dire, et ça m'énerve. J'me retrouve là, comme une comme, et si j'avais pas sorti le truc du nombre de l'article et le bonjour, et bah j'aurais été coincée par ce blanc qui m'aurait rendue folle, enfin si j'le suis pas déjà. Et là putain j'me dis que j'suis en train de raconter de la merde, le texte se barre en couilles à la troisième ligne, s'il vous plait, empêchez-moi de continuer cet artiiiiiiiicleeeeeeee !!!!!!!!!! ... ... ... ... ... Ouais, enfin vous le verrez qu'une fois publié alors il sera trop tard (tu dis d'la merde, tu dis d'la merde) donc en fait ce que je vous dit est TOTALEMENT INUTILE (Oh, comme vous ! :D ... Bah voyons, un article où j'vous envoie pas chier, c'est pas un article, pas vrai ?). (Tu dis encore de la merde <3) (Et en plus de ça tu prends quand même le temps de foutre le encore en italique, mais j'suis vraiment qu'une bouffonne, faites moi taiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)...
Moi j'pète un câble ? J'deviens folle ? Hahaha, vous pensez ça parce que vous me connaissez pas, mais folle, j'le suis, j'le deviens pas. C'est juste que là je ressens un besoin vital de taper sur mon clavier jusqu'à ce que sommeil s'en suive, je ne peux même pas remettre la musique que j'écoute en boucle depuis tout à l'heure parce que sinon je vais péter un câble si j'écris pas, déjà que quand je cherche une demie seconde un mot, j'suis au bord de l'explosion alors là, vous n'imaginez même pas le délire.
Si seulement, je pouvais trouver un sujet, un sujet, même stupide, même dont tout le monde s'en fout, j'veux juste un putain de sujet mais j'en ai pas, j'ai rien à dire, rien à écrire, j'suis dans un appartement, toute seule avec un chat, appartement qui n'est même pas le mien, et chat qui n'est même pas le mien, assise sur un lit qui n'est pas le mien (l'ordi est à moi par contre) et pourtant j'me sens si bien dedans. J'ai tout fait dans cet appart, ou presque.
Bref, savez-vous que pendant 18 ans, j'ai cru qu'on disait preNium, et pas preMium ? Et là, vous allez m'prendre pour une conne évidemment, déjà qu'avec les dernières lignes vous m'prenez pour une tarée, ça y est, je viens de dégouter mes quelques rares lecteurs c'est ça ? J'm'en doutais...
Bon, un autre sujet, un autre sujet qui pourrait me faire récupérer les quelques rares, mais néanmoins fidèles lecteurs... Ah oui j'ai trouvé c'est bon, les vacances. Aaaaaaaaaah, sujet universel (ou pas). En fait, c'est le sexe, l'argent et la politique qui sont les sujets universels. Mais pas le reste. On peut peut-être rajouter la religion, mais seulement si dans la conversation, il y a au moins deux personnes de religion différente, sinon ça se finit vite... Bref, les vacances. Personnellement, j'ai passé de très bonnes vacances, même si je ne suis pas beaucoup sorti et que j'ai pas beaucoup fait la fête. J'ai passé les premiers jours à Paris (non, c'est pas une de mes destinations de vacances... C'est là où j'habite, pour ceux qui savent pas), puis, du jour au lendemain, j'me suis retrouvée sur un coup de tête à Nice pendant deux jours, puis à Londres pendant quatre. Nice, c'était cool, j'étais avec ma femme (comme pendant tout le reste des vacances sauf la semaine dernière et maintenant, je vous l'accorde) et puis on a accompagné une de ses meilleures amies voir les résultats du bac (elle l'a eu, pour les curieux) puis j'ai appelé ma soeur et d'autres gens qui l'ont passé cette année... Et ils l'ont tous eu sauf une, une pauvre CONNASSE qui se barre de mon lycée pour sa deuxième terminale. Oui, j'suis dégoutée, mais bon. Je la comprends. Mon lycée fait péter un câble.  Bref. On est allées à la plage, un après-midi, c'était ma foi fort bien, puis on est retournées à la plage, le soir, pour fêter, donc, le bac. Et le lendemain, on décollait pour Londres (enfin, pour Paris, puis Londres). J'aime bien prendre l'avion, surtout la sensation que ça fait dans le ventre, indescriptible et si spéciale, et pourtant agréable, même si j'ai toujours une petite angoisse d'un probable crash, et que je finisse comme Ton Hanks dans Seul Au Monde (film que je vous invite à voir :] ). BREF. Londres, c'était génial aussi, mais raconter 4 jours, c'est plus chiant que deux, alors j'vous emmerde. Ensuite, je suis rentrée chez moi (à Paris, pour ceux qui ont rien compris, et je sais qu'il y en a) et j'y suis restée deux semaines alors croyez même pas que j'vais vous raconter! De toutes façons, je suis bien forcée d'admettre que ces deux semaines on été quand même assez soft niveau activités... Mais l'avantage, c'est qu'elle étaient reposantes, grave reposantes, et que j'me sentais vraiment bien. Ensuite on est parties -avec ma copine, pour ceux qui ont vraiment rien suivi- dans la maison de campagne d'une amie à moi [A GAILLAC !!!!] et c'était également bien, les baignades dans la piscine à deux heures du mat, les étoiles filantes, les hamac, les clopes, la tireuse à bière... Enfin, toute les belles choses de la vie. :D Et puis après retour à Paris -ça y est vous avez pigé ?- et puis deux jours plus tard ma femme partait, et puis moi aussi j'suis partie, dans un endroit suuuuuupeeeeeeeer exotique... Ou pas. La normandie, ouaiiiiiiiis trop bien ! Pour les soixante ans de mariage de mes grands parents paternels (beau record hein ? Essayez vous, j'suis sure que vous les battrez pas!). Mais j'ai bien aimé, même si y'avait pas une bête d'ambiance H24, j'ai quand même revu une de mes cousines que j'avais pas vue depuis cinq ans, et pas mal de ma famille aussi, et un peu de retour aux origines -haha, joke- ça fait toujours du bien. Et depuis bah je suis là, je squatte chez ma cousine, j'ai rencontré le copain de ma meilleure amie, enfin quand j'l'ai rencontré c'était son ex, et puis c'est redevenu son copain, allez comprendre, mais bon, c'est un amour cette fille, et puis une amie comme elle, c'est très précieux, et je ne la quitterai jamais. Et voilà j'en suis là, et pour les prochains jours, référez-vous à la conclusion de l'artile 34. Voilààààààààààà !!!!!!!!!!!!


Et puis, quelques photos inédites pour votre bon plaisir.



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Ca va mieux.

Dimanche 22 août 2010 à 0:16



Emménagement de ma femme chez moi, H-11.







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