Gossow

Conneries.

Vendredi 28 mai 2010 à 10:54

Pour Stina. On va dire que c'est pour ton départ de la toile.



Le 19 avril dernier, j'écrivais l'article 20, dans lequel je parlais de ma copine et de l'amour en général. J'ai du partir en cours, je me suis donc arrêtée en vous balançant ces quelques mots :
"Est-ce que vous aussi, vous avez déjà ressenti cette forme d'amour, ou vous vous sentez prêt à affronter tout ce qui est possible, imaginable, et même au-dessus de ça, juste pour lui arracher un sourire ? Juste pour l'entendre rire ? Juste pour qu'une seule et unique femme vous regarde amoureusement, juste pour pouvoir vous endormir et vous réveiller chaque matin de votre putain de vie minable et sans intérêt ? Et bien, moi, oui. Avec elle.
Ah, une adolescente pleine d'espoirs et d'amour à revendre. Que c'est beau. Ouais, ouais, ouais. Je suis ça. Une adolescente rêveuse, aimante et aimée. Mais détrompez-vous, du haut de mes tout petits dix-huit ans acquis depuis pas même un mois, je connais l'amour véritable, et je vous hurle à tout va que la plupart des gens mariés depuis vingt ans n'y connaissent rien. L'amour véritable, ce n'est pas celui qu'on rencontre à 25 ou 40 ans, voire plus. Il n'est pas non plus celui qu'on connait entre 15 et 20 ans, bien qu'on hurle à nos parents qu'on les aime, ces bâtards ou ces salopes, alors qu'en fait, c'est juste nos jolis petits hormones frais qui nous disent qu'ils ont envie de foutre dans notre lit telle ou telle personne. Non, l'amour le plus pur qui puisse exister, c'est celui de l'enfance.
Je dois partir, donc je ne m'attarderai pas là-dessus. Une prochaine fois, peut-être.
"


N'ayant pas trop apprécié que je me coupe en pleine réflexion, Stina fidèle lectrice de ce blog, m'a réclamé la suite. Alors, je la lui offre.


... Non, l'amour le plus pur qui puisse exister, c'est celui de l'enfance. Quoi, vous pensiez réellement que c'était celui de votre jeunesse, de l'éveil de la vieillesse, de la vieillesse ? Ce n'est pas entre 12 et 90 ans qu'on a une chance de découvrir l'amour. C'est avant. L'époque de la maternelle, de la primaire, tout ça. Je le sais, je l'hurle, et pourquoi ? Parce que j'en ai été témoin. A l'âge de huit ans, je suis tombée amoureuse. Bien que c'est la première chose à laquelle vous pensez peut-être, non, notre relation ce n'était pas "On se tient par la main, et on si fait des bisous sur la joue.". C'était très loin d'être ça. Comment dire. C'était une relation. Une vraie, une réelle, une incroyable relation. Elle a duré cinq ans. Je ne vous dirai pas ce qu'il s'est passé parce que tout simplement ça ne vous regarde aucunement. Je vais juste parler de l'amour. Mais comment faire ? Comme je l'ai écrit à ma copine au début de notre relation, "L'amour ne se dit pas, ne se pense pas, ne se décrit pas. Il se ressent, c'est tout." (Dans Tuez-moi, je suis folle amoureuse de cette femme.). D'après cette phrase, je ne peux pas répondre aux réclamations de Stina. Pourtant... Je vais quand même essayer. L'amour pur, c'est celui de l'enfance. Lorsqu'on regarde une personne sans avoir d'arrière pensée, lorsque l'on ne "matte" pas quelqu'un, mais qu'on le regarde. lorsqu'on se sent attiré par cette personne, sans vouloir la foutre dans son lit. Lorsqu'on est lié à une personne, par la nature, par la vie, par tout ce qui est possible et imaginable. Lorsque chaque pas que l'on fait, chaque geste, chaque chose qu'on voit, qu'on achète, qu'on regarde, qu'on touche, qu'on dit, TOUT nous rapporte à cette personne. Lorsque cette personne nous fait changer. Au lieu d'acheter ce t shirt/ce livre/ce cd, on en achète plutôt un autre. Lorsque notre vie n'a aucun sens sans elle. Lorsque si elle meurt, la plus grande et plus belle partie de nous meurt au même instant. Et, surtout, lorsqu'on est amoureux, véritablement amoureux, c'est pour toujours. On n'oublie jamais cette personne. Elle est en nous. Elle est toujours, tout au long de votre vie, présente dans chacun de vos gestes, dans chacune de vos pensées. Vous l'aimerez du début à la fin. Jusqu'à votre mort. Votre esprit ne pourra jamais vous en débarrasser. N'essayez pas.


Voilà voilà, enjoy Stina. :]

Samedi 29 mai 2010 à 14:20

J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime. J'aime !



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The Dead Weather, The Difference Between Us.



I'm not the way that you found me
I'm never here or there
One day I'm happy and healthy
Next I ain't doing so well

Let's go walk to the border
Let's go walk along the inch
Let's go when no one can see us
And find the difference between us

You can cry like a baby
Just let me do what I need to
It might be to me or to you
Just let me do what I need to

I'm not the way that you found me
I'm neither here nor there
One day I'm happy and healthy
Next I ain't doing so well

Let's go walk to the border
Let's go walk along the inch
Let's go when no one can see us
And find the difference between us

I'm not the way that you found me
I'm neither here nor there
One day I'm happy and healthy
Next I ain't doing so well

Let's go walk to the border
Let's go walk along the inch
Let's go when no one can see us
And find the difference between us

You can cry like a baby
Just let me do what I need to
It might be to me or to you
Just let me do what I need to

I'm not the way that you found me
I'm neither here nor there
One day I'm happy and healthy
Next I ain't doing so well.


Lien ici.

Jeudi 3 juin 2010 à 11:24

Encore.
Toujours.
Et plus fort.


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Je l'aime ce mec.





(PS: ma copine arrive tout à l'heure. \o/ \o/ \o/ \o/ \o/ \o/ \o/)

Vendredi 2 juillet 2010 à 14:21

Hier, ça a fait huit mois.
Huit mois, c'est si peu et pourtant quand on y est ça paraît énorme. Je suis tellement heureuse les gens. Avec elle c'est parfait. Disons juste qu'en ce moment, elle est un peu sur les nerfs, et que je ne sais pas quoi faire pour qu'elle cesse d'y penser un peu. Mais bref. Hier c'était nos huit mois, et une bonne journée. Et la veille, nous étions au concert des Dead Weather où nous avons sué comme des porcasses, mais osef.
Aujourd'hui, nous sommes à deux semaines de vivre ensemble.
Elle retourne une semaine chez elle dans deux jours, puis la troisième semaine d'aout. A part ça, on vit ensemble. Et ça se passe super bien <3
Demain, je rencontre son père.
Et mon dieu je flippe.. Si vous saviez. Enfin, vous vous en foutez bien sûr. Ou alors vous vous demandez pourquoi. Et vous savez quoi, je ne saurais même pas quoi vous répondre. J'en ai aucune idée. Mais j'ai peur, c'est tout.
A part ça j'ai formaté mon pc. Mais il plante toujours.
Et aussi, j'attends des nouvelles du rectorat pour mon changement de lycée.
Et il y a aussi cette histoire de conseil de discipline dont je n'ai eu aucune nouvelles.
Sinon, il fait 32° aujourd'hui à Paris, et j'étouffe.


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(Dessin fait par C.L, fille de mon lycée qui l'a fait à partir d'une de mes photos.)



Lundi 16 août 2010 à 5:11

(J'essaie, je ne garantis pas. Il est 4h21.)


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En chantier, je m'appelle Trude ! ... Bref. Bonjour bonsoir, pour ceux qui me suivent encore (enfin, s'il y a quelque chose à suivre).
Ca fait longtemps que je ne vous ai pas gâtés hein ? Si vous saviez ce que je m'en contrefous TOTALEMENT. De vous écrire, de vous, tout simplement, de VOUS TOUS. Vous n'êtes rien pour moi, vous ne servez qu'à me faire rire de mon rire le plus horrible, celui que j'utilise quand je me rends compte qu'il y a sur terre des gens assez stupides pour commenter des passades de vie minable d'une parfaite inconnue, via internet.


Et maintenant après avoir dit ça, je ne me souviens même plus de ce que je voulais foutre ici. Tout ça est bien drôle n'est-ce pas ? Je me fous de vous et vous arrivez, sans même lever le petit doigt sur votre clavier, à me faire quelque chose.

Mais parlons de choses un peu plus sérieuses pour moi que vos petites personnes, voulez-vous ? On est quand même sur mon blog, mon espace, ma page, ma vie. Et à la base, je voulais parler de ma copine (oui, ça y est, j'ai retrouvé mes mots. Comme quoi, vous ne m'avez pas beaucoup perturbée). Les célibataires qui lisent mon blog doivent me trouver carrément obsédée par elle, non ? Eh bah, vous avez raison. Mais il se trouve que ce n'est pas seulement ma copine, en fait. C'est surtout ma fiancée comme vous le savez peut-être déjà si vous avez lu la totalité de mon blog. Et c'est aussi une merveilleuse amie. Depuis que je la connais elle m'a aidée, de quelque manière que ce soit, et en s'en rendant compte, ou pas. Tout d'abord c'est grâce à elle que j'ai apprit à aimer lire. Car c'est tout simplement la première personne au monde que j'ai aimé lire de cette sorte. Mais elle m'a aussi permit de me sentir mieux, de m'organiser dans ma vie, de dire les choses dès qu'elles arrivaient au lieu de tout stocker dans mon esprit jusqu'à ce que SD card full, et que tout explose à la moindre information en trop. Je gerbais mes mots en vrac quelque part (à Nice, en l'occurrence), où quelqu'un les lisait et me répondait, pas forcément en me conseillant ou quoi, elle aurait pu me répondre "Bien fait pour toi sale pute" que ça m'aurait quand même fait plaisir, car je savais qu'au moins, quelqu'un me lisait, surtout quelqu'un, qui, au fil des messages et autres, devenait petit à petit plus importante pour moi. Combien y a-t-il de gens qui ont eu la même chance que moi ? Certainement pas beaucoup. Mais les autres, je m'en fous (voir plus haut). Mais le mieux, c'est que c'est pas tout. C'est elle qui, il y presque un an, s'est -inconsciemment- imposée dans ma tête, dans mon esprit, dans mon coeur, en détruisant tout sur son passage. En envoyant aux oubliettes mes amourettes mensuelles et même deux de mes grands amours. Je me voyais déjà quitter ma famille, mes amis, et tout ce qui m'était cher, en m'envolant pour un autre monde, et foulant enfin le pied sur les terres de mes ancêtres, avec une autre femme à mes côtés. Jusqu'à ce qu'elle arrive, cette bombe sexuelle dont je suis tombée follement amoureuse -petit à petit, pour une fois ! Moi qui d'habitude suis adepte au coup de foudre-. Il a suffit d'une seconde pour que tout change dans mon esprit. Je venais de bouffer des danettes -ceux à deux gouts, les trop bons là- et je parlais avec une amie sur un banc en bas de chez elle, et d'un seul coup, tout ce qui me paraissait limpide auparavant était devenu brouillard, et tout ce que je n'arrivais pas à déchiffrer s'est transformé en l'espace d'une seconde en de frappantes réalités. Je l'aimais. J'étais folle amoureuse d'elle. Elle était devenue ma vie entière à la vitesse de la lumière. Mais peut-on avoir une relation durable et stable avec une personne avec laquelle nous sommes amis ? Non. Certainement pas. Il me fallait l'oublier, le plus vite possible, à tout prix. Je m'y suis attelée pendant une semaine. Sans succès. Et tant mieux. Car pendant la soirée de la peur et du terrifiant, j'ai trouvé amour et bonheur auprès de sa voix et ses mots.
-Je m'éloigne du sujet principal ? Ouais. Mais cette fois je m'en fous.-
On a réduit au fil des mois la distance qui nous séparait jusqu'à ce qu'elle devienne ridicule face à notre amour. On a toutes les deux anéanti notre année scolaire, elle à la fac, moi en première. On s'en foutait. Ce qui comptait, c'était se voir, se parler, se frôler, s'embrasser, se dire qu'on s'aimait, se faire tendrement l'amour et se baiser comme des bêtes certains soirs. Ca nous a valu de nous attirer les foudres de ses parents, un peu moins des miens, mais quand même. Mais mon père, percevant peut-être mon air de défi un jour à table, m'a vu répondre "Oui." à la question "Vous voyez jusque là" ? -ma copine et moi rigolions de nous plus tard, avec des cannes-. Et le lendemain, il l'invitait à venir vivre chez nous. Allez, avouez-le, vous rêvez d'avoir mon père ? Vous ne l'aurez JAMAIS ! C'est le MIEN ! Je l'aime et je veux le garder aussi longtemps que la vie me le permettra. Et puis les foudres des parents, nos mois-anniversaires gâchés, et puis Miami, et puis cet été, et puis ces deux mois passés avec toi, avec tes parents enfin -ou à contrecoeur, j'm'en tape- d'accord avec ce projet. Notre petite chatonne à nous deux.

Le fin mot de l'histoire ? Vous  aurez comprit que je l'aime.



Tout ça pour vous dire que dimanche à 11h30, ce sera officiel, on vivra ensemble et pour toujours.




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Jeudi 19 août 2010 à 5:03

Article 35, déjà. Je crois que c'est la première fois que j'écris autant sur un blog en laissant les articles en ligne Oo
C'est dingue...

Bref, bonjour ou bonsoir comme d'habitude, on est au courant BLA BLA BLA.

Je parle pour rien dire ce soir, j'ai envie d'écrire c'est tout, sauf que j'ai rien à dire, et ça m'énerve. J'me retrouve là, comme une comme, et si j'avais pas sorti le truc du nombre de l'article et le bonjour, et bah j'aurais été coincée par ce blanc qui m'aurait rendue folle, enfin si j'le suis pas déjà. Et là putain j'me dis que j'suis en train de raconter de la merde, le texte se barre en couilles à la troisième ligne, s'il vous plait, empêchez-moi de continuer cet artiiiiiiiicleeeeeeee !!!!!!!!!! ... ... ... ... ... Ouais, enfin vous le verrez qu'une fois publié alors il sera trop tard (tu dis d'la merde, tu dis d'la merde) donc en fait ce que je vous dit est TOTALEMENT INUTILE (Oh, comme vous ! :D ... Bah voyons, un article où j'vous envoie pas chier, c'est pas un article, pas vrai ?). (Tu dis encore de la merde <3) (Et en plus de ça tu prends quand même le temps de foutre le encore en italique, mais j'suis vraiment qu'une bouffonne, faites moi taiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!)...
Moi j'pète un câble ? J'deviens folle ? Hahaha, vous pensez ça parce que vous me connaissez pas, mais folle, j'le suis, j'le deviens pas. C'est juste que là je ressens un besoin vital de taper sur mon clavier jusqu'à ce que sommeil s'en suive, je ne peux même pas remettre la musique que j'écoute en boucle depuis tout à l'heure parce que sinon je vais péter un câble si j'écris pas, déjà que quand je cherche une demie seconde un mot, j'suis au bord de l'explosion alors là, vous n'imaginez même pas le délire.
Si seulement, je pouvais trouver un sujet, un sujet, même stupide, même dont tout le monde s'en fout, j'veux juste un putain de sujet mais j'en ai pas, j'ai rien à dire, rien à écrire, j'suis dans un appartement, toute seule avec un chat, appartement qui n'est même pas le mien, et chat qui n'est même pas le mien, assise sur un lit qui n'est pas le mien (l'ordi est à moi par contre) et pourtant j'me sens si bien dedans. J'ai tout fait dans cet appart, ou presque.
Bref, savez-vous que pendant 18 ans, j'ai cru qu'on disait preNium, et pas preMium ? Et là, vous allez m'prendre pour une conne évidemment, déjà qu'avec les dernières lignes vous m'prenez pour une tarée, ça y est, je viens de dégouter mes quelques rares lecteurs c'est ça ? J'm'en doutais...
Bon, un autre sujet, un autre sujet qui pourrait me faire récupérer les quelques rares, mais néanmoins fidèles lecteurs... Ah oui j'ai trouvé c'est bon, les vacances. Aaaaaaaaaah, sujet universel (ou pas). En fait, c'est le sexe, l'argent et la politique qui sont les sujets universels. Mais pas le reste. On peut peut-être rajouter la religion, mais seulement si dans la conversation, il y a au moins deux personnes de religion différente, sinon ça se finit vite... Bref, les vacances. Personnellement, j'ai passé de très bonnes vacances, même si je ne suis pas beaucoup sorti et que j'ai pas beaucoup fait la fête. J'ai passé les premiers jours à Paris (non, c'est pas une de mes destinations de vacances... C'est là où j'habite, pour ceux qui savent pas), puis, du jour au lendemain, j'me suis retrouvée sur un coup de tête à Nice pendant deux jours, puis à Londres pendant quatre. Nice, c'était cool, j'étais avec ma femme (comme pendant tout le reste des vacances sauf la semaine dernière et maintenant, je vous l'accorde) et puis on a accompagné une de ses meilleures amies voir les résultats du bac (elle l'a eu, pour les curieux) puis j'ai appelé ma soeur et d'autres gens qui l'ont passé cette année... Et ils l'ont tous eu sauf une, une pauvre CONNASSE qui se barre de mon lycée pour sa deuxième terminale. Oui, j'suis dégoutée, mais bon. Je la comprends. Mon lycée fait péter un câble.  Bref. On est allées à la plage, un après-midi, c'était ma foi fort bien, puis on est retournées à la plage, le soir, pour fêter, donc, le bac. Et le lendemain, on décollait pour Londres (enfin, pour Paris, puis Londres). J'aime bien prendre l'avion, surtout la sensation que ça fait dans le ventre, indescriptible et si spéciale, et pourtant agréable, même si j'ai toujours une petite angoisse d'un probable crash, et que je finisse comme Ton Hanks dans Seul Au Monde (film que je vous invite à voir :] ). BREF. Londres, c'était génial aussi, mais raconter 4 jours, c'est plus chiant que deux, alors j'vous emmerde. Ensuite, je suis rentrée chez moi (à Paris, pour ceux qui ont rien compris, et je sais qu'il y en a) et j'y suis restée deux semaines alors croyez même pas que j'vais vous raconter! De toutes façons, je suis bien forcée d'admettre que ces deux semaines on été quand même assez soft niveau activités... Mais l'avantage, c'est qu'elle étaient reposantes, grave reposantes, et que j'me sentais vraiment bien. Ensuite on est parties -avec ma copine, pour ceux qui ont vraiment rien suivi- dans la maison de campagne d'une amie à moi [A GAILLAC !!!!] et c'était également bien, les baignades dans la piscine à deux heures du mat, les étoiles filantes, les hamac, les clopes, la tireuse à bière... Enfin, toute les belles choses de la vie. :D Et puis après retour à Paris -ça y est vous avez pigé ?- et puis deux jours plus tard ma femme partait, et puis moi aussi j'suis partie, dans un endroit suuuuuupeeeeeeeer exotique... Ou pas. La normandie, ouaiiiiiiiis trop bien ! Pour les soixante ans de mariage de mes grands parents paternels (beau record hein ? Essayez vous, j'suis sure que vous les battrez pas!). Mais j'ai bien aimé, même si y'avait pas une bête d'ambiance H24, j'ai quand même revu une de mes cousines que j'avais pas vue depuis cinq ans, et pas mal de ma famille aussi, et un peu de retour aux origines -haha, joke- ça fait toujours du bien. Et depuis bah je suis là, je squatte chez ma cousine, j'ai rencontré le copain de ma meilleure amie, enfin quand j'l'ai rencontré c'était son ex, et puis c'est redevenu son copain, allez comprendre, mais bon, c'est un amour cette fille, et puis une amie comme elle, c'est très précieux, et je ne la quitterai jamais. Et voilà j'en suis là, et pour les prochains jours, référez-vous à la conclusion de l'artile 34. Voilààààààààààà !!!!!!!!!!!!


Et puis, quelques photos inédites pour votre bon plaisir.



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Ca va mieux.

Dimanche 22 août 2010 à 0:16



Emménagement de ma femme chez moi, H-11.







Mercredi 15 septembre 2010 à 15:26

Anne-Sophie.


Aujourd'hui, le 15 septembre, ça fait désormais huit longues années que ma meilleure amie et moi partageons nos vies. Huit années remplies de délires, de conneries, de musique, de disputes, de réconciliations, de malheur et de bonheur....
Parce que c'est toi. Parce que c'est moi. Parce que c'est nous.
Nous à Paris, à Berlin, à Aix-la-Chapelle, nous au collège, nous au lycée, nous au refuge, nous à balard, nos amours, nos amis, nos vies.
Les potins, les kros, les luckys, les chansons qui vont avec tes clopes. Nos photos, Neuilly sa mère. Mes amis, qui sont devenus les tiens, ma copine. Ton copain. Les soirées chez moi, les soirées chez toi. Tigrounou, Quizas, Tsarevitch, Chini, Niña, Tisha. Nos concerts, aussi. Tous ces petits détails qui font qu'on se connait par coeur, mais qu'on ne cesse jamais de se découvrir. Tous ces détails qui font de toi ma meilleure amie.
J'ai toujours été là pour toi, comme tu l'as toujours été aussi, depuis huit ans. Quand tu venais te réfugier chez moi, quand tu rompais, quand j'allais mal, quand on sortait, quand on avait juste envie d'être avec quelqu'un qu'on aime et qui nous aime, peu importe ce qui se passe dans nos vies.
Quelqu'un sur qui on peut compter, chaque instant de nos putains de vies.
En huit ans, ils nous est arrivé pas mal de choses horribles, mais de nous, je ne retiens que les belles.



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Huit ans avec toi.

Lundi 20 septembre 2010 à 21:15

[ARTICLE NE SERVANT STRICTEMENT A RIEN]
L'autre jour, samedi dernier en fait, j'ai écrit une p'tite nouvelle. A la main, sur du papier, et Dieu seul sait que ça faisait une éternité que ça ne m'était pas arrivé. J'adore. Mais l'inspiration, ces derniers temps, se fait discrète. J'adore moins, déjà.

En chantier, nouveaux lecteurs, je m'appelle Teuz. Et bonjour/bonsoir aux fidèles qui me suivent depuis le début. Ces quelques petits internautes qui sont les seuls à pouvoir lire leurs pseudos sur ce blog, que je vais d'ailleurs rappeler ! En tout premier, Toy-story. Mais toi, tu me lis depuis trois ans, c'est pas pareil. Et puis, je t'aime. A Mr-moche, ensuite. Parce que, tu me suis depuis la création de ce blog, même si tes commentaires -et les miens- sont de plus en plus distants sur nos blogs respectifs. Et à Stina, la toute dernière fidèle lectrice de ce blog, que je vais, peut-être rencontrer mercredi ? On l'espère.


Enfin bref. Ca, c'était parce que j'avais zappé de dire bonjour. Revenons à nos moutons. Ouais, j'ai pondu une connerie, et je vais vous la re-pondre ici (pour que chacun en profite), et j'ai hâte d'avoir vos avis, vos commentaires là-dessus.. Toutes critiques sera acceptée, bonne ou mauvaise. Ce texte débarquera donc sur le net dans la semaine ! Et les trois cowbloggeurs cités seront avertis par commentaire. Pour le reste, j'vous laisse vous démmerder c'est pas mon problème ! :p


A bientôt :D

Mardi 28 septembre 2010 à 17:52

Je suis malade comme un chien. Ca me détruit la gorge, et pourtant je fume encore, accro comme je suis, me séparer de mon précieux paquet est strictement impossible, même dans le pire état du monde. Le seul moment où j'accepterai de dire au revoir à mes chères petites doses de nicotines, c'est lorsque je serai enceinte. Mais ça, j'pense que j'ai le temps. Laaaaaaaarge. Généralement, c'est pas à 18 ans qu'on pense aux enfants. Et d'ailleurs, c'est mon cas. Moi en fait, c'est depuis toujours que je veux être maman. Mais c'est pas l'sujet, aujourd'hui.


BONJOUR MES AMOURS !
(Un bonjour gentil, de temps en temps, ça peut pas faire de mal, si ?)


En ce moment, ça va mal. J'ai l'impression que tout me lâche.  Déjà ma gorge, comme vous l'aurez compris. Mais aussi ma motivation à aller en cours. On en est encore au début de l'année pourtant. Moi j'vous le dis, j'vous le parie, vue comme c'est parti après même pas 3 semaines de cours, le bac, je l'aurais certainement pas cette année. C'est pour ça que, depuis la semaine dernière, j'observe à quoi ressemblent les premières L de cette année. Histoire de voir avec qui je serai en cours l'année prochaine. Vous allez m'dire que je suis défaitiste, oui. Vous allez m'dire "mais non, tu vas l'avoir, t'inquiète". Mais j'vous emmerde, qui est dans mon crâne ? Qui voit le chantier qu'est mon cerveau ? J'vous jure que mon cerveau en ce moment est pire que les trottoirs détruits pour les travaux du tram' juste devant mon lycée, ou même pire que Bagdad. Vous voyez le délire ?
J'aimerais juste qu'on comprenne que cette année, c'est pas la bonne, c'est tout. J'ai 18 ans, et je sais ce que l'avenir me réserve pour au moins les 8 prochains mois.
Bref. Ce qui me détruit aussi, c'est le manque de motivation de mon entourage. En ce moment, mon entourage, c'est juste deux personnes. Mon père et ma copine. Les deux personnes avec lesquelles je vis quoi. Ma mère ne vit plus à la maison depuis un an et demi, et c'est bien mieux comme ça. Ma soeur est partie vivre avec son copain à Grenoble y'a genre un mois. Mais bref. Leur manque de motivation est du à... Aucune idée en fait. Mon père a pas de copine, et c'est ça qui le fait défaillir en ce moment. Et ma copine n'est pas inscrite à la fac et ça ne semblait pas un problème jusqu'à l'heure dernière alors que la date limite d'inscription est le 30 et que nous sommes le 28 et qu'il est 17h46.
Breeeef. On est trois à vivre dans cette baraque. Trois à être démotivés.
Et moi ça m'saoule, parce que pour être motivée, faudrait encore que quelqu'un dans mon entourage le soit. Et c'est pas l'cas.

Le premier épisode de la saison 7 de desperate housewives est sorti, et j'ai envie de le voir, avec ma copine bien sûr, sauf que depuis qu'elle est partie de notre chambre sans m'adresser un regard ni une parole, et en refermant bien gentiment la porte, bah, moi, j'ose pas aller lui parler, parce que vue la tension dans ses gestes et ses paroles que j'ai pu déceler ces deux dernières heures, j'vais m'en prendre plein la gueule ! Et ça m'saoule, parce que j'ai envie de savoir ce qui arrive à ces connasses de riches américaines si parfaites !!!!!!!!!

Sinon, en c'moment, je joue à Pokemon version Argent sur Game Boy Color. Et j'vous emmerde, parce que je kiffasse ma race.





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Sinon, le soleil brille et les oiseaux chantent. Enfin, sauf qu'il pleut quoi.

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