Gossow

Conneries.

Mercredi 14 avril 2010 à 0:42

Bonjour, aujourd'hui, c'est l'anniversaire de ma meilleure amie. On devait sortir, elle, une autre amie, et moi, mais au final elles y sont allées juste elles deux. Pas que j'ai été mise à part, j'vous rassure -ou alors je vous fais perdre une occasion de vous moquer, qu'en sais-je-, non, c'est moi-même qui leur ai dit, à leur regret, que je ne serai pas de la partie ce soir. Simplement parce que mes amies comptent enchainer les bars, les boites, etc. Programme cool, on doit fêter nos 18 ans toutes les trois. Nos trois anniversaires. Elles fêteront le mien sans moi, parce qu'elles, elles sont riches, et que moi, j'mange pas à ma faim. C'est la vie les amis, c'est comme ça. Mais avec elles, c'est toujours pareil. A croire que dans leurs crânes, s'amuser avec 0€ dans le porte-monnaie, c'est absolument impossible.
Et puis, j'ai passé une journée de merde, du début à la fin. Sans exception. Et j'ai toujours pas de nouveau portable.



Du coup, j'suis blasée.




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Jeudi 15 avril 2010 à 20:03

Déjà l'article 18, eh beh, qu'est-ce que j'écris beaucoup moi (ironie). J'aimerais bien poster un article par jour, parce qu'en fait, j'ai besoin d'écrire tous les jours, mais soit j'ai pas le temps, soit j'y pense pas, soit j'y arrive pas (je vous laisse deviner lequel me fait le plus chier).

Et puis, mon dieu, pauvre de ma copine, mais déjà que je suis chiante, aujourd'hui j'ai mes règles (vous vous en foutez ? Pas moi) alors je vous laisse -à nouveau- imaginer à quel point je serai chiante pendant les cinq prochains jours. Si dans les prochains articles, je fais des menaces de meurtre, ne me prenez pas au sérieux, et mettez ça sur le triste fait que je suis malheureusement née avec une chatte.

ET CA ME GONFLE. (Vous voyez, ça commence). En plus, nous, on doit acheter des millions de trucs que vous les hommes vous n'aurez jamais besoin ! Des tampons, des serviettes, du maquillage, des strings/boxers/culottes/jsais pas quoi, des soutien-gorges... Et mon dieu ce que j'en passe. ET C'EST CHIANT C'EST CHIANT C'EST CHIANT C'EST CHIANT C'EST CHIANT !

Bref, changeons de sujet, après je vais perdre mes lecteurs masculins.

Il pleut, là, tout de suite, ça vient de commencer -oui ça me soule aussi, mais moins, vue que j'suis bien au chaud chez moi sous ma couverture en jogging/t shirt/pull- et Dieu sait à quel point j'aime pas la pluie.

Et puis, merde, j'suis crevée. J'ai fait une sieste, qui ne devait durer qu'une heure et qui au final a duré deux heures et demi. Ca m'a fait du bien, certes, mais ça m'a crevée plus que remise en forme. Dormir trop, c'est d'la merde.

Je ne vais pas tarder à devoir vous laisser, ma meilleure amie passe à la maison, mais avant ça, il faut quand même que j'exprime ma joie (oui, même aujourd'hui en ce premier jour de règles, quelque chose est positif.)



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J-8 <3
ET JE VOIS DOTOKO DEMAIN <3

Samedi 17 avril 2010 à 10:33

Pardon Lucia, mais là, je n'arrive pas à trouver les bons mots pour lui répondre. J'ai envie de la rassurer. Mais je ne sais même pas si j'y arriverai.




J'aurais voulu lui parler hier soir. Sans un mot, je me suis endormie. Le temps qu'elle rentre, j'étais plongée dans mon sommeil. Pas eu le temps de lui dire bonne nuit. Hier soir, avant de sortir, je l'ai loupée, de moins d'une seconde. Je me suis déconnectée, et quand j'ai cliqué sur "arrêter", j'ai reçu un message d'elle. Non mon ange, pas deux minutes, mais moins d'une seule.
J'ai dormi en serrant un bracelet, un bracelet qu'on m'a offert pour mon anniversaire. Deux longs mois que je ne l'avais pas vu. Si vous saviez ce qu'il m'a manqué, ce p'tit con. Et puis sa copine, que j'adore. Et dont il va être séparé l'année prochaine, si les juges donnent sa garde à son père et non à sa mère. Ca me fait chier pour elle. Pour lui. Pour eux.
Sinon, je revois ma copine dans six jours. Six petits jours. J'ai hâte, mon dieu j'ai hâte. Pouvoir la faire décompresser, la faire penser à autre au moins quelques jours, pitié. Et puis, que moi aussi, je pense à autre chose. Dans six jours, on sera réunies pour dix merveilleux jours. (Bah oui, faut pas déconner. On me dit pas deux semaines. Mais je gruge, je viens dix jours. HA !) Il ne manquerait plus que je ne la vois qu'une semaine, alors que j'ai deux semaines de libre.

J'ai plein d'autres choses à dire. Sur plein de sujets. Mais j'ai même pas envie d'écrire, ce matin.
Alors, bonne journée.

Jeudi 22 avril 2010 à 18:02

Anne-Sophie.


Mardi soir, ma meilleure amie et moi sommes sorties toutes les deux en boite, le Bus Palladium. On a dansé.. Trois minutes ? On a enchaîné les vodkas. On a miraculeusement pu s'asseoir. On a jeté du champagne dans les chiottes, tellement il était immonde. Déjà que j'aime pas le champagne... Il avait un goût véritablement ignoble. Enfin bref. On a parlé. Et c'est ça qu'il faut retenir de la soirée. Elle s'est confiée. Moi aussi. On s'est dit tout ce qu'on ne savait pas l'une de l'autre. On entre dans une nouvelle relation. On vire les disputes, les pétages de câble, les "tu ne connais même pas la moitié de ma vie" et autres conneries. Nous sommes omniscientes l'une de l'autre.
Mais d'autres questions me viennent. Est-ce qu'elle a réellement compris ? Est-ce que la quantité d'alcool ingurgitée à cette soirée ne l'a pas fait oublier notre conversation ? Est-ce qu'elle m'a crue ? Est-ce qu'elle me croit ? Je n'ai même pas envie d'avoir les réponses. Comme réponse, elle m'a seulement prit dans ses bras.
Et moi, ça me suffit.




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Alice.


Si seulement Morgane et moi ne l'avions jamais ramenée vers eux. Elle ne serait jamais devenue des leurs, n'aurait jamais rencontré Buisson, ne serait jamais devenue comme lui. Elle se fait passer pour un million de fois plus conne qu'elle ne l'est. Depuis deux mois, je ne peux m'empêcher de voir qu'elle a effectivement l'âge qu'elle a. Réellement, oui. Physiquement, aussi. Mentalement, surtout. Merde alors, j'ai des amis de vingt-six piges qui me supportent. Et moi, du haut de mes dix-huit ans tout neufs, je juge cette fille en disant qu'elle est insupportablement jeune. Est-ce qu'il y a véritablement un écart entre 15 et 18 ans ? Est-il si important que ça ? A vrai dire, j'm'en branle de l'âge. Sauf quand, évidemment, je le remarque.
Même les gosses que je gardais, qui avaient 9 et 10 ans, me paraissaient plus matures. Vous imaginez ce que je suis en train de dire d'une de mes meilleures amies ? Elle va trop loin. Elle me saoule. Elle m'énerve. Au moindre de ses mots, j'ai envie de la baffer. Au moindre de ces gestes, de la cogner.
Je ne la supporte plus.



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Natasha.



D'ici quelques heures, je prends le train pour la rejoindre, loin de toutes ces emmerdes parisiennes. Cette petite escapade sera un moment de paradis au milieu de l'infini de l'enfer. Non seulement je vais la retrouver, mais je vais aussi quitter cette ville qui devient pour moi synonyme d'emmerdes, de faux-culs, de gamins, de bouffons. Je commence à revoir cette ville comme je la voyais à sept ans. Comme étant l'image du Mal, dans mon monde. Sauvez-moi. Sauve-moi.
Tu m'avais tellement manqué, mon amour. Enfin, je vais te retrouver. Je vais te prendre dans mes bras. Je serai là, tout près de toi. Je t'attendrai chez toi. Je serai là, je serai là. D'ici quinze heures, je suis chez toi, en train de t'attendre. Dans ces quinze heures, ma valise aura rejoint la tienne au milieu de ta chambre. L'un de mes briquets aura rejoint tes allumettes dans ton cagibi. Mon odeur se mélangera à la tienne dans ta chambre. Mes affaires seront à côté des tiennes sur ton bureau. Mes mégots iront rejoindre les tiens, jetés par la fenêtre. Mon coeur aura rejoint celui auquel il est désormais à jamais lié. Je t'aurai rejointe dans ton monde.
Et on sera heureuses.






Cette journée aurait dû être belle.

Vendredi 7 mai 2010 à 11:36

Ca fait un moment que je n'ai pas écrit. Deux semaines environ. Ca me manque un peu, alors je reviens. Ah, et puis merci pour vos commentaires pendant mon absence, en particulier Stina et Tsumekai. Bonjour lecteurs.


Depuis la dernière fois que j'ai écrit, il s'est passé plein de choses. Déjà, je suis allée chez ma copine, pendant dix jours. C'était -évidemment- magnifique. J'ai passé dix jours superbes... J'ai obligé ma copine à réviser ses partiels -croisez les doigts pour qu'elle ait son semestre :D-. Et puis, nous avons fêté nos six mois. C'est très peu, six mois, quand on y pense, ouais. Mais nous sommes comme ça, elle et moi. On vit comme si le lendemain pouvait ne pas exister, on profite de chaque seconde, encore plus quand on est ensemble. Ma Madame m'a fait à manger, et nous avons fait un diner au chandelles, je ne vous raconte pas les détails, mais c'était un instant magique. Un rêve. Tout ça sur un fond musical de Yann Tiersen, vraiment, c'était superbe.
Mais j'ai du repartir, comme à chaque fois. Mais plus pour longtemps. Bref. Je suis donc rentrée à Paris, ma meilleure amie est venue me chercher à 7h45 du matin à la gare. Vous connaissez beaucoup de personnes qui feraient ça pour leurs amis ? Moi, juste une. Et puis, on est allées chez moi. Mon chat, mon petit bébé, est mort le week end dernier. Coup dur pour ma famille, mais on s'en remet hein. On va en reprendre, deux. Un à moi, un à ma soeur. Enfin bref.
Sinon, j'ai royalement foiré mes bacs blancs. En tout cas en français oral, écrit, et en svt. Les autres, j'les ai pas encore eu. Mais je sens que ça va pas être génial. Je suis dans la merde. :D Mais vous vous en foutez n'est-ce pas ? Et bien je dois vous avouer qu'en fait, moi aussi.


Ah, et puis, elle vient lundi. Pour deux semaines.

Mardi 25 mai 2010 à 22:42

"Le rire est le propre de l'Homme." Ca signifie donc que, quand Elle n'est pas là, je n'ai plus du tout d'humanité. Je ne suis plus qu'une coquille vide. Plus rien.




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"I'm maaad... HA HA !"

Mercredi 26 mai 2010 à 22:44

Depuis que je me suis réveillée ce matin, j'ai envie de chialer.
Aujourd'hui, j'ai fait plein de trucs. J'ai vu des amies, j'ai rit, j'ai sourit. Mais non, cette envie est tenace. Pour ne pas gâcher la bonne humeur générale je ne dis rien, je pleure en silence devant un film drôle, et mes amies ne s'en sont pas rendues compte. C'est pas grave, je ne sais même pas pourquoi je chialais.
D'ailleurs, ma meilleure est toujours là, chez moi, à côté de moi. Peut-être est-elle en train de lire ce que j'écris. Je sais pas. C'est pas très grave. Elle essaie de me remonter le moral, de me faire rire quand je lui annonce que j'ai cette envie intenable de chialer. Mais rire ne me fera pas partir cette envie. C'est comme ça.
Je sais pas. Peut-être que ça va passer en dormant cette nuit. Si j'y arrive.
Bref, vous vous en foutez probablement, mais j'avais juste envie de l'écrire. Bonne nuit.

Jeudi 27 mai 2010 à 12:59

Je devrais être dans le métro, pour aller en cours. Mais je me suis réveillée il y a vingt minutes. Flemme de me préparer en un temps record, j'me suis dit tant pis pour les cours aujourd'hui. C'est la deuxième journée que je sèche entièrement dans la semaine, semaine qui a commencé par un jour férié. En fait, depuis mardi dernier (18 mai), jour où je n'avais d'ailleurs qu'une heure de cours, je ne suis allée qu'à une heure de cours, hier.
Et quand je dis "j'vais pas avoir mon bac, j'le sais, regarde moi" On m'dit que non, que j'suis en train de faire des efforts, que j'vais y arriver, qu'il n'y a pas de raison que je n'y arrive pas...
La raison est pourtant simple non ? Je bosse pas. Je vais pas en cours. Je fous rien. Et j'suis censée avoir mon bac ? Je sais pas si les gens disent ça pour me rassurer ou pour me donner de fausses illusions... Mais ça ne me fait pas super plaisir. J'ai l'impression que c'est un mensonge.
Le plus beau, c'est que je ne suis qu'en première. Et que je sais que l'année prochaine, ça sera pareil. J'irai pas en cours, je bosserai pas. Au final, c'est peut-être les autres qui se font des illusions sur mes "capacités". Capacités qu'on m'a toujours dit que j'avais, mais que même en m'acharnant au travail à une époque, j'ai jamais vues.

Enfin bref. Heureusement, y'a pas que les cours dans la vie. Mais vous voyez, le reste aussi va (aussi) mal. Par exemple. J'ai eu un "meilleur ami" à une époque, pas si lointaine que ça d'ailleurs. Au début de cette année scolaire, j'en avais un. Aujourd'hui j'en ai plus. Des amis, j'en ai. J'ai une formidable meilleure amie. Mais lui, j'y tenais énormément (normal, je pense.) et je l'ai perdu bêtement. On ne s'est pas disputés, ou alors il faut croire que si. Il me parle tellement peu que même lorsqu'il m'a fait la gueule pendant une semaine, je ne le savais pas. Je ne m'en rendais pas compte. Qu'il me fasse la gueule ou pas, ça changeait rien. Il ne me parlait pas plus. Il ne pouvait techniquement pas me parler moins, vue que même quand "tout va bien" il ne me parle pas. J'en ai marre les gens. Marre. Marre. Marre.
Avec ma copine, tout va bien. Mais ça fait seulement quatre jours qu'elle est partie et regardez mon état. Et dites-vous que je la retrouve dans un mois.




Je me fais pitié.

Jeudi 27 mai 2010 à 16:04

Il est 16h03.
Mon père est rentré à 15h55.
Il a commencé à me gueuler dessus, à me reprocher des tas de trucs à la même minute.
Nous nous sommes à moitié crié dessus pendant quelques minutes.
Il est sorti de ma chambre à 15h59, me laissant en larmes.


Nos seules conversations, c'est ça, c'est ce que tu veux ?

Vendredi 28 mai 2010 à 10:54

Pour Stina. On va dire que c'est pour ton départ de la toile.



Le 19 avril dernier, j'écrivais l'article 20, dans lequel je parlais de ma copine et de l'amour en général. J'ai du partir en cours, je me suis donc arrêtée en vous balançant ces quelques mots :
"Est-ce que vous aussi, vous avez déjà ressenti cette forme d'amour, ou vous vous sentez prêt à affronter tout ce qui est possible, imaginable, et même au-dessus de ça, juste pour lui arracher un sourire ? Juste pour l'entendre rire ? Juste pour qu'une seule et unique femme vous regarde amoureusement, juste pour pouvoir vous endormir et vous réveiller chaque matin de votre putain de vie minable et sans intérêt ? Et bien, moi, oui. Avec elle.
Ah, une adolescente pleine d'espoirs et d'amour à revendre. Que c'est beau. Ouais, ouais, ouais. Je suis ça. Une adolescente rêveuse, aimante et aimée. Mais détrompez-vous, du haut de mes tout petits dix-huit ans acquis depuis pas même un mois, je connais l'amour véritable, et je vous hurle à tout va que la plupart des gens mariés depuis vingt ans n'y connaissent rien. L'amour véritable, ce n'est pas celui qu'on rencontre à 25 ou 40 ans, voire plus. Il n'est pas non plus celui qu'on connait entre 15 et 20 ans, bien qu'on hurle à nos parents qu'on les aime, ces bâtards ou ces salopes, alors qu'en fait, c'est juste nos jolis petits hormones frais qui nous disent qu'ils ont envie de foutre dans notre lit telle ou telle personne. Non, l'amour le plus pur qui puisse exister, c'est celui de l'enfance.
Je dois partir, donc je ne m'attarderai pas là-dessus. Une prochaine fois, peut-être.
"


N'ayant pas trop apprécié que je me coupe en pleine réflexion, Stina fidèle lectrice de ce blog, m'a réclamé la suite. Alors, je la lui offre.


... Non, l'amour le plus pur qui puisse exister, c'est celui de l'enfance. Quoi, vous pensiez réellement que c'était celui de votre jeunesse, de l'éveil de la vieillesse, de la vieillesse ? Ce n'est pas entre 12 et 90 ans qu'on a une chance de découvrir l'amour. C'est avant. L'époque de la maternelle, de la primaire, tout ça. Je le sais, je l'hurle, et pourquoi ? Parce que j'en ai été témoin. A l'âge de huit ans, je suis tombée amoureuse. Bien que c'est la première chose à laquelle vous pensez peut-être, non, notre relation ce n'était pas "On se tient par la main, et on si fait des bisous sur la joue.". C'était très loin d'être ça. Comment dire. C'était une relation. Une vraie, une réelle, une incroyable relation. Elle a duré cinq ans. Je ne vous dirai pas ce qu'il s'est passé parce que tout simplement ça ne vous regarde aucunement. Je vais juste parler de l'amour. Mais comment faire ? Comme je l'ai écrit à ma copine au début de notre relation, "L'amour ne se dit pas, ne se pense pas, ne se décrit pas. Il se ressent, c'est tout." (Dans Tuez-moi, je suis folle amoureuse de cette femme.). D'après cette phrase, je ne peux pas répondre aux réclamations de Stina. Pourtant... Je vais quand même essayer. L'amour pur, c'est celui de l'enfance. Lorsqu'on regarde une personne sans avoir d'arrière pensée, lorsque l'on ne "matte" pas quelqu'un, mais qu'on le regarde. lorsqu'on se sent attiré par cette personne, sans vouloir la foutre dans son lit. Lorsqu'on est lié à une personne, par la nature, par la vie, par tout ce qui est possible et imaginable. Lorsque chaque pas que l'on fait, chaque geste, chaque chose qu'on voit, qu'on achète, qu'on regarde, qu'on touche, qu'on dit, TOUT nous rapporte à cette personne. Lorsque cette personne nous fait changer. Au lieu d'acheter ce t shirt/ce livre/ce cd, on en achète plutôt un autre. Lorsque notre vie n'a aucun sens sans elle. Lorsque si elle meurt, la plus grande et plus belle partie de nous meurt au même instant. Et, surtout, lorsqu'on est amoureux, véritablement amoureux, c'est pour toujours. On n'oublie jamais cette personne. Elle est en nous. Elle est toujours, tout au long de votre vie, présente dans chacun de vos gestes, dans chacune de vos pensées. Vous l'aimerez du début à la fin. Jusqu'à votre mort. Votre esprit ne pourra jamais vous en débarrasser. N'essayez pas.


Voilà voilà, enjoy Stina. :]

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